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 Ibiza, here we are ! ft. Ezekiel

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♣ La petite sirène ♣
Ariel Morgan
Ariel Morgan

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MessageSujet: Ibiza, here we are ! ft. Ezekiel   Ibiza, here we are ! ft. Ezekiel EmptyDim 18 Nov - 18:58


Ibiza, here we are !
Nous y sommes enfin, c’est le jour du grand départ. Cela fait plusieurs jours que je prépare ma valise alors qu’il n’a fallu que quelques heures à Zeke pour faire la sienne. Jusqu’à la dernière minute, ma valise j’hésite sur les derniers éléments à emporter avec moi, au grand dam de mon frère qui n’a de cesse de me crier que nous allons être en retard si je continue comme ça et que si on loupe l’avion par ma faute il ne me le pardonnerait pas. Foutaise ! Je sais très bien qu’il en serait incapable. Il bouderait tout au plus quelques heures. Je jette un dernier coup d’œil sur l’appart que nous laissons entre les mains de Sasha en notre absence, pendant que ma moitié me tire à l’extérieur de l’appartement.
En peu de temps nous sommes à l’aéroport. L’annonce pour signaler qu’il ne reste plus que quelques minutes pour s’enregistrer sur notre vol se fait entendre alors que nous entrons dans le hall. Je fais une grimace honteuse face au regard noir que me jette Zeke alors que nous partons en courant vers le comptoir. Nous sommes les derniers. Avant de monter dans l’avion, je regarde une dernière fois en arrière, lâchant à voix basse un « Ibiza, nous voilà ! » avant de voir la porte de l’avion se refermait derrière nous. On se fraye un chemin tant bien que mal dans l’avion déjà bondé. Nous passerons cette première partie de vol l’un à côté de l’autre. Je me suis d’ailleurs assurée qu’il en soit de même pour le reste du voyage. Une trentaine d’heures de vol nous attendent dont deux escales, une à Abou Dabi et une autre à Madrid. Une fois installée je souffle un bon coup, soulagée d’être enfin en route pour notre destination de rêve. Je tourne la tête vers mon jumeau : « Prêt ? ». Je cale ma tête sur son épaule en attendant le décollage.

Il en faut de l’imagination pour occuper tant d’heures de vol. Je partage mon temps entre écouter de la musique, regarder des séries, feuilleter des magazines et parfois quelques heures de sommeil, même si je ne suis pas à l’aise pour dormir dans un avion. L’escale de nuit à Abou Dabi me vend du rêve, bien que nous ne puissions pas sortir de l’aéroport dû au temps trop court entre nos deux vols. Je me promets un jour de faire un voyage à Dubaï ou ici-même. L’escale à Madrid est bien plus longue, nous avons donc le temps de flâner dans les rues de cette belle ville espagnole en attendant le dernier vol qui nous mènera enfin à destination. La délivrance sonne enfin quand l’avion se pose sur le tarmac de l’aéroport d’Ibiza. Il ne nous reste plus que le transfert entre l’aéroport et l’hôtel. Je me laisse émerveiller par les paysages qui défilent sur notre route. Il fait doux malgré l’hiver approchant dans l’hémisphère nord… l’avantage d’une île située en pleine méditerranée.
Le moment tant attendu est enfin arrivé, nous posons enfin les pieds dans le hall de l’hôtel. Nous nous présentons à l’accueil, on prend nos bagages et nous mène jusqu’à nos chambres. J’ai préféré choisir des chambres séparées afin que chacun soit libre de faire ce qu’il veut durant ce séjour. Mais pas question d’être séparé trop l’un de l’autre, nos chambres sont l’une en face de l’autre. Je souffle un bisou vers mon jumeau avant de rentrer dans ma chambre. Mon premier réflexe est de m’écrouler dans le lit. Autant d’heures de vol est éreintant ! Mais pas question de se reposer tout de suite. Non sans effort, je me relève et me dirige vers la baie vitrée qui donne sur un balcon. Je l’ouvre et sors observer la vue. Ma chambre donne sur un jardin arboré et un peu plus loin sur la mer. Que c’est beau ! Je retourne à l’intérieur et ouvre ma valise pour me changer. Il me faut des habits un peu plus appropriés au lieu avant de sortir.

Une fois changée, je toque à la porte de la chambre d’Ezekiel. A peine a-t-il ouvert la porte que je m’engouffre pour me jeter sur son lit. Je me retourne sur le ventre, les pieds en l’air pour le regarder. « Alors, heureux ? » lui dis-je tout sourire. Je jette un œil vers la baie vitrée mais de la hauteur du lit, je ne peux pas rien à voir à part le balcon. « Ça donne quoi la vue chez toi ? Moi c’est de la très belle verdure et la mer au loin. ». Je me remets sur le dos et tends le bras vers la table de chevet. « Alors tu veux commencer par quoi ? ». J’attrape un papier que je regarde brièvement avant de le secouer en direction de mon jumeau. « En attendant que la fête commence, peut-être qu’on peut essayer quelques choses là-dedans ? ». Il s’agit de la liste des prestations et services proposés par l’hôtel. Cela va du simple roomservice à des massages et un spa. Il y a de quoi faire, et nous ne sommes encore que le matin. Les célèbres fêtes qui font la réputation d’Ibiza ne commenceraient pas avant quelques heures.
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Ezekiel Morgan
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MessageSujet: Re: Ibiza, here we are ! ft. Ezekiel   Ibiza, here we are ! ft. Ezekiel EmptyLun 21 Jan - 22:38


Ibiza, here we are !


Morgan twins

Ariel m’avait fait un cadeau de malade pour mon anniversaire. Notre anniversaire. Il était de notoriété publique que mon plus grand rêve en ce monde était de passer un séjour à Ibiza. LA ville de la fête. Que dis-je, l’île ! Apparemment, avant que je ne tombe dans le coma, j’avais toujours rêvé d’y aller. Au fur et à mesure du temps, à mesure que je reprenais ma vie en main, cette idée d’aller là-bas un jour, s’immisça à nouveau dans ma tête. Vestige d’un souvenir perdu qui refaisait surface ou le naturel reprenait-il le dessus malgré ma mémoire défaillante ? Dans tous les cas, quand elle m’avait agité les billets d’avion sous le nez à notre soirée d’anniversaire, je n’en avais pas cru mes yeux. Pire qu’un gosse le jour de Noël, j’avais gueulé comme un taré et je l’avais serrée tellement fort dans mes bras que j’avais sans doute dû lui faire mal au passage. Bon, l’enthousiasme dont j’avais fait preuve avait été un peu brutal, je devais bien le reconnaitre. Toujours est-il qu’elle m’offrit là le plus beau cadeau que je puisse espérer. Le départ était même bien plus proche que je l’avais imaginé puisque je n’eus que quelques heures pour boucler ma valise. Mais évidemment, j’étais le premier prêt malgré tout. Ariel avait eu un temps infini pour se préparer mais elle n’était même pas foutue d’être prête à l’heure ! Non mais les femmes sans déconner ! Si on ratait l’avion à cause de son indécision à choisir des fringues, je la tuais ! D’ailleurs, je n’avais pas cessé de la presser jusqu’à ce qu’elle soit enfin prête. Et c’est sans souci qu’on confia l’appartement à Sasha pendant quelques jours et qu’on se dépêcha pour atteindre l’aéroport.

Il en fallut de peu pour qu’on monte dans l’avion et je ne pus m’empêcher de lancer un regard noir à ma sœur. Parce que c’était de sa faute si on était à la bourre ! Enfin, on avait réussi à monter dans l’avion à temps, in extremis. Le vol allait durer longtemps, heureusement qu’Ariel était assise à côté de moi. Ça nous fera passer le temps. « Et comment ! » Bien sûr que j’étais prêt ! Je l’étais depuis qu’elle m’avait montré les billets d’avion. Le temps de vol jusqu’à la première escale me parut infiniment long. J’étais trop pressé d’arriver pour dormir. M’occuper était également difficile en restant assis. Je dus me faire violence pour patienter sagement. Je ne comptais même plus le nombre de fois que j’avais lancé des « C’est long quand même. », « Encore combien de temps là ? » et autre « Qu’est-ce qu’on se fait chier » pendant tout le trajet. Arrivé à Abou Dabi de nuit, il fallut attendre à l’aéroport. Un véritable enfer. Moi qui n’étais pas patient, l’attente était interminable. Sans déconner, ça les amusait d’emprisonner les voyageurs dans l’aéroport ? Sans avoir le droit de sortir ? Heureusement on put un peu se dégourdir les jambes à Madrid. Alleluia. Mais l’Europe ça ne m’intéressait pas. Du moins, pas cette partie.

Par contre, malgré l’excitation, la fatigue et le sommeil s’emparèrent de moi pendant la dernière partie du voyage. Lorsque j’ouvris les yeux, nous étions enfin arrivés à destination. Enfin ! J’étais complètement mort, mais content d’être arrivé ! Rapidement, nous furent conduits à l’hôtel et je constatais qu’Ariel avait fait les choses bien. Nous avions chacun notre chambre. C’était pas mal ça ! Bon heureusement, elle n’était pas si loin que ça, on était l’un en face de l’autre. On nous conduisit jusqu’à nos chambres respectives avec nos bagages et Ariel me souffla un bisou avant d’entrer dans la mienne. Mon sourire n’avait pas quitté mon visage depuis un moment et c’est avec joie que j’entrais dans ma chambre. Elle était classe. Vraiment. Je fis un rapide tour des lieux mais quand je vis le lit King size, je ne pus m’empêcher de me laisser tomber dedans. Bon dieu que j’étais crevé ! Si je fermais les yeux, j’étais sûr de m’endormir ! Mais ce n’était pas le moment. J’étais ici pour une durée limitée et je n’allais certainement pas perdre mon temps à me reposer. Je me relevais bien vite pour éviter de sombrer et je fis le tour de ma chambre. La salle de bain était à l’image de la chambre et du lit, immense et sublime. Je me voyais tellement bien vivre dans ce genre d’endroit. Je finis par atterrir sur le balcon qui me donne une vue imprenable sur la piscine. Intéressant. Très intéressant.

J’étais d’ailleurs resté pas mal de temps sur le balcon pour profiter de la vue quand j’entendis qu’on frappa à ma porte. J’allais ouvrir et sans surprise, il s’agissait d’Ariel. Un sourire aux lèvres, j’eus à peine le temps de m’écarte de son chemin qu’elle s’élança pour se jeter sur mon lit. Je refermais la porte pour me laisser tomber à côté d’elle. « Heureux ? Le mot est faible ! » J’étais littéralement sur un petit nuage. Elle jeta un œil à mon balcon et me demanda sur quoi portait ma vue. De son côté, c’était sur la mer et des jardins. Sympa ! « Moi j’ai peut-être plus de chance, j’ai vue sur la piscine ! » C’était non négligeable pour moi ! Par contre, je ne savais pas vraiment par quoi commencer. Elle récupéra un dépliant sur ma table de chevet avant de me l’agiter sous le nez. Ouais, il était encore trop tôt pour partir en soirée. Il ne faisait même pas encore nuit. A vrai dire, je ne savais même pas quelle heure il était. Allongé sur le dos, j’ouvris le flyer pour y jeter un œil. « Hum… Je t’avouerais que si je me pose quelque part ou que je me fais masser, je risque de m’endormir. Je suis HS. » Alors il fallait que je m’occupe l’esprit. « Il y a toujours la piscine, des trucs de spa, une salle de jeux… Soit on reste actifs pour éviter de s’endormir, soit on se repose pour être en forme ce soir. » Que choisir ? « On peut toujours aller se poser à la piscine. Au moins on pourra faire les deux ? »

AVENGEDINCHAINS @Ariel Morgan
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